ACCUEIL - TOUT VOIR - Blasons des armes des ducs, marquis, comtes et gentilshommes de l'ancienne chevalerie de Lorraine et Barrois. Coppié à l'original de Monsieur Calot, héraut d'armes de Lorraine et Barrois.
Blasons des armes des ducs, marquis, comtes et gentilshommes de l'ancienne chevalerie de Lorraine et Barrois. Coppié à l'original de Monsieur Calot, héraut d'armes de Lorraine et Barrois.
AUTEUR
Callot, Jean
DATE
16..
NOTES
Armorial lorrain sur papier, manuscrit en français. XVIIe siècle. Reliure cartonnée XIXe siècle.
A l'époque moderne, les traités de blason connaissent un véritable succès et leur nombre ne cesse de s'accroître du XVIe au XVIIIe siècle : ils ne sont plus dès lors l'apanage des seuls hérauts d'armes. En Lorraine, Jean Callot, père du célèbre graveur Jacques Callot, compte parmi les plus fameux hérauts. Il était au service du duc Charles II. Son armorial est très célèbre mais ne semble pas avoir connu d'édition définitive. Un seul exemplaire imprimé se trouve dans les collections précieuses de la Bibliothèque municipale de Nancy. En 1863 Conrad Grenser, qui avait connaissance de l'imprimé nancéien, édite un Recueil des armes de l'ancienne chevalerie publié d'après un manuscrit du noble Jean Callot… (manuscrit alors conservé à la Bibliotheca Uffenbachia de Francfort). Il ne faut pas confondre cette source avec celle qui a servi à notre copiste du XVIIe siècle. On voit par là toute la problématique liée aux nobiliaires et armoriaux en tous genres dont les titres et les contenus se ressemblent sans jamais être identiques. Dans le manuscrit ici numérisé, le copiste s'est contenté du blasonnement qui devait suffire à se représenter les armoiries indépendamment du dessin.
Provenance : Tiercelins de Bayon.
A l'époque moderne, les traités de blason connaissent un véritable succès et leur nombre ne cesse de s'accroître du XVIe au XVIIIe siècle : ils ne sont plus dès lors l'apanage des seuls hérauts d'armes. En Lorraine, Jean Callot, père du célèbre graveur Jacques Callot, compte parmi les plus fameux hérauts. Il était au service du duc Charles II. Son armorial est très célèbre mais ne semble pas avoir connu d'édition définitive. Un seul exemplaire imprimé se trouve dans les collections précieuses de la Bibliothèque municipale de Nancy. En 1863 Conrad Grenser, qui avait connaissance de l'imprimé nancéien, édite un Recueil des armes de l'ancienne chevalerie publié d'après un manuscrit du noble Jean Callot… (manuscrit alors conservé à la Bibliotheca Uffenbachia de Francfort). Il ne faut pas confondre cette source avec celle qui a servi à notre copiste du XVIIe siècle. On voit par là toute la problématique liée aux nobiliaires et armoriaux en tous genres dont les titres et les contenus se ressemblent sans jamais être identiques. Dans le manuscrit ici numérisé, le copiste s'est contenté du blasonnement qui devait suffire à se représenter les armoiries indépendamment du dessin.
Provenance : Tiercelins de Bayon.
TYPE DE DOCUMENT
Manuscrit, Image fixe
FORMAT DU DOCUMENT
1 volume ; 16 feuillets. 160 × 127 mm. , Image/jpeg
LANGUE
Latin
DROITS
Domaine public
COTE
Bibliothèque-médiathèque de Nancy, Ms. 672
IDENTIFIANT
B543956101M00672